Peintre néerlandais.

 » La peinture aide à voir. Elle fait de la vie, de la complexité de la vie, quelque chose que l’on peut voir. Elle rend visible ce qu’on ne sait voir. »  Citation issue de « Bram van Velde », Maeght éditeur 1993.

Enfance dans la misère. Encouragé par un collectionneur et mécène, Kramers, il voyage et découvre Matisse, puis Picasso. Installé à Paris vers 1923, ayant vécu en Espagne. Ami de Samuel Beckett, il trouve son propre langage plastique en 1939. Il cesse de peindre entre 1941 et 1945. Dès les années soixante, il bénéficie de plus d’exposition et sa renommée augmente. Il habite Genève dès 1967.  C’est à la fin de sa vie qu’il sera vraiment reconnu.

1961

Lithographie

« Appel »
1981 – Lithographie – 63 x 68,4 cm

« Fleur légère »
1981 – Lithographie – 43 x 28,8 cm

http://www.catherineputman.com/estampes/estampes_bram.html

S’ouvrir à l’abstraction, une expérience :

Philippe Djian, admirateur de l’artiste, a publié un texte inspiré en regard d’oeuvres de BVV. Ce livre invite à une vraie intimité avec la personnalité attachante de cet artiste :

Présentation :  http://philippedjian.free.fr/divers/bram.htm

Et puis, sa relation avec Charles Juliet, treize années émaillées de rencontres d’une intensité mystique.