CnZGrO6XEAAv-Nh

L’art pour refuge, le silence par respect, la réflexion pour proximité et distance.

La Tempête de William Shakespeare(Résumé)

bosch_jardin_delices
Jérôme (Hyeronimus) Bosch, »Le Jardin des Délices », triptyque, vers 1490-1510.

http://dai.ly/xca9k2

800px-Hieronymus_Bosch_-_The_Garden_of_Earthly_Delights_-_The_exterior_(shutters)
Triptryque de Jérôme Bosch volets fermés.

Le Jardin des Délices : Analyse sur le site aparences.net

8 réflexions sur “

  1. Ah ! Tous les démons sont ici ( et l’enfer est vide, oui ) , mais cette seule phrase est à elle seule LA démonstration du génie de Shakespeare, Quant à Bosch, on ne commente même plus tant tout ce qu’on peut en dire sera plat à côté de ce que lui raconte dans ce triptyque

    Aimé par 1 personne

    1. Oui, j’aimerais le voir en vrai et je resterais des heures à le contempler. La création d’Adam et Eve, puis le monde perverti et enfin la punition infernale, tout cela enfermé au coeur de la terre…

      J’aime

  2. J’étais loin de ce chaos dans une vallée étroite et profonde pendant ces quelques jours …Un endroit poudré de soleil, un abri de verdure sauvage et luxuriante qui donne la bonne mesure aux hommes et apprend la modestie… Épargnée par le vomi médiatique…Si l’enfer est ici, le paradis aussi…Je refuse que le monde et moi même et ceux que j’aime aussi soient enfermés dans la désespérance.C’est la désespérance qui rend le monde fou. Quant au tableau de Bosch, j’ai eu la chance de le voir en vrai l’année dernière à Madrid. Hélas, pas de chaise pour le contempler à loisir, et du monde…Il n’est pas très grand en fait… Heureusement, il y a les livres pour mieux regarder !

    Aimé par 1 personne

      1. Je ne sais pas si c’est une vison positive, ni de l’optimisme volontaire, mais pourquoi la laideur, l’horreur, la noirceur, le chaos, la haine, tous ces porteurs de malheur auraient ils plus de poids que moi, plus de valeur que tous les actes d’amour, de beauté, d’humanité dans le monde. Je refuse de faire partie de ce nous culpabilisé, rabougri, apeuré, déboussolé, coupable de tous les maux…Merde à la fin, j’essaye de me tenir droite,d’être modestement correcte.. Je ne veux plus qu’on me dise cela ne sert à rien, tout est fichu, tu n’es rien du tout. Je refuse d’être un mouton apeuré.

        Aimé par 1 personne

Laisser un commentaire