Dans l’Empire romain, les pérégrins sont des étrangers, hommes libres, habitant les provinces conquises par Rome, mais ne disposant pas de la citoyenneté romaine, ni du statut juridique des Latins.

Dans le monde de l’art contemporain, nous ressemblons à ces pérégrins, nous nous déplaçons dans un espace qui a ses propres règles, comme lors d’un voyage en un pays lointain. Nous pouvons nous sentir étrangers et déstabilisés par ce que nous voyons. Des oeuvres peuvent paraître hermétiques et nous découvrons parfois un univers dont nous nous sentons exclus faute de repères.
Un code, une clé seraient parfois bienvenus pour nous aider à comprendre ce que l’on voit. Et les cartels qui présentent les oeuvres peuvent être longs ou obscures.
Cette nouvelle catégorie, pérégrin, qui se veut court séjour dans une oeuvre, serait comme une petite intrusion dans une démarche artistique. Au lieu d’une biographie d’artiste forcément incomplète, je vous proposerai quelques pérégrinations dans une petite partie du terroir de l’artiste.
Qui? Quoi? Où? Quand? Comment? Pourquoi?

L’installation de Yamamoto est tout simplement bluffant …(et quelle énergie tu as) – 3 entrées en deux jours….
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Je rattrape…Non, mais surtout le concept d’articles courts me stimule. plus envie de passer 3 jours sur l’ordi!
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Bonne 💡
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