Jean D’Ormesson (1925) § chefs-d’oeuvre

Jean D'Ormesson

« La médiocrité est portée aux nues. Les navets sont célébrés comme des chefs-d’œuvre. Ce qui sera oublié dans trois ans est l’objet d’un tintamarre qui finit par rendre insignifiant pêle-mêle le meilleur et le pire. Les œuvres dignes de ce nom ne manquent pas autour de nous. Elles sont emportées dans les flots de la nullité acclamée. »
Jean d’O

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Quatrième de couverture >

Grasset,2013

« Chef-d’œuvre. » Quand ce très vieux mot du Moyen Âge utilisé pour l’artisanat a-t-il commencé à être appliqué à la littérature ? Y a-t-il un critère du chef-d’œuvre littéraire ? Mieux, une recette ? Comment être sûr qu’un livre est un chef-d’œuvre ? Un chef-d’œuvre est-il éternel ? La postérité est-elle le bon juge ? Crée-t-on encore des chefs-d’œuvre aujourd’hui ? Comment définir le chef-d’œuvre ?

C’est à toutes ces questions que tente de répondre ce livre. Parcourant les grands livres, de Homère à Heine et de Boccace à Beckett, il propose une analyse inattendue de l’œuvre de James Joyce aussi bien que des considérations sur ce que l’on peut penser des Aristochats de Walt Disney. Charles Dantzig montre encore une fois que l’on peut associer le brillant et la réflexion, la virtuosité et la profondeur, l’érudition et l’esprit. (Quatrième de couverture)

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