

Mais que vient faire cette mélancolique petite (42×30 cm) huile sur toile de Manet dans un roman intégralement newyorkais? A vous de le découvrir dans le troisième volet de la trilogie de Jay McInerney. Après « Trente ans et des poussières » et « La belle vie », Russell et Corrine Calloway atteignent la cinquantaine dans « Les jours enfuis ». Un âge où l’on hésite entre la nostalgie des rêves d’autrefois et la frénésie d’un nouvel emballement…
En effet Corinne a meilleur goût que Luke (avec son Déjeuner sur l’Herbe) ….
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Incollable Bernhard!
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J’avais justement trouvé à l’époque une illustration de ce tableau….je voulais comprendre l’importance…..
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Ah voilà qui attise ma curiosité… Tu nous diras quand même ce que tu en as pensé ? Bises
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Oui, c’est un peu court, je l’admets, c’est le propre de cette catégorie. J’aime cet écrivain citadin, la grande pomme est son terreau. Une analyse assez drôle et sans concession du quotidien des newyorkais, mais aussi du couple en déliquescence. Ça change des nature writers!
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